vendredi 28 décembre 2012

Tokar de Bretagne vs Tokar de Paris suite

Nous quittons le Tokar de Paris. Je sens bien que le mâle dominant des tokars de Bretagne n'est pas tout à fait satisfait (litote).

- MDTB (Mâle dominant des Tokars de Bretagne) : Tu en penses quoi de l'entretien ?"

Alors là, il y a plusieurs façons de répondre :
  • positive (dans la novlangue, c'est un synonyme de faux-cul) "Ouah ! ça a l'air super bien comme mission, je commence quand ?"
  • négative (toujours en novlangue, synonyme de réaliste") :" Pfuuuuuh, il n'a pas l'air de trop savoir ce qu'il veut"
  • neutre (en novlangue, synonyme de je m'en fous complétement) : "Il était bon le café"
  • novlangue (en novlangue synonyme de je vais tellement te mettre des mots ronflants qui ne veulent rien dire que tu vas rien comprendre" : "En terme organisationnel, il me semble percevoir des trous dans la raquette qui pourraient impacter une problématique de type effet falaise.Il faut de toute urgence mobiliser les compétences métier pour solutionner ce challenge. Pour cela, je propose de vérifier la bande passante pour commencer à s'attaquer à la partie émergée de l’iceberg de manière drastique, voire surérogatoire."
Tant pis pour moi, j'ai choisi la négative. 
- MDTB (accablé) : "C'est tout ce que tu en retiens ?"

Il veut que je lui dise quoi ?
  • "Quel tokar ce mec qui m'a fait perdre 1/2 journée de déplacement et 250€ de train alors qu'il n'avait rien à me dire !"
  • "Oui, mais c'est un contrat fait pour moi, j'ai confiance"
  • "Oui"
Petit jeu - reconnaitras-tu la manière positive, la manière neutre et la manière négative dans ces trois réponses possibles ?
Petit jeu 2 - Sauras-tu toi aussi répondre en novlangue à l'interrogation du MDTB ?


Adroitement, j'ai réussi à éviter la réponse négative, mais sans me compromettre par une réponse positive. J'ai donc dit "Oui".
 .....
Je crois que ce n'était pas la réponse souhaitée.
- MDTB (genre je vais essayer de faire son éducation) : "Vois-tu, dans un entretien comme ça, il faut rebondir sur les questions. il te parle d'un truc et tu dis Ah oui, j'ai déjà fait la même chose ! et tu racontes ton expérience"
- PSIME (prestataire de services en informatique et en mauvais esprit): "Oui mais pour rebondir, il faut qu'il y ait un peu de matière, là c'était le vide absolu"

Conseil qui sent le vécu : pour vous éviter une longue leçon de morale, éviter ce genre de réflexion.

Et comme je suis fondamentalement sympa, je vous épargne la leçon de morale (en vrai c'est parce que je l'ai oubliée, peut-être bien que je ne l'ai pas très bien écoutée......)


jeudi 27 décembre 2012

Tokar de Bretagne vs Tokar de Paris

Le mâle dominant des Tokars de Bretagne m'emmène à Paris.
Nous allons voir un client.
Le mâle dominant des Tokars de Bretagne ne sait pas ce dont le client a besoin....mais il sait que je ferai l'affaire, si je "positive".
Surprise (enfin pour moi)! le client est un Tokar de Paris !
Le Tokar de Paris (tokari Parisiensi) est une espèce voisine du Tokar de Bretagne. La principale différence tient à sa localisation géographique; si le Tokar de Bretagne prédomine dans l'ouest de la France, le Tokar de Paris reste, lui, la principale espèce de Tokars présente dans le bassin parisien.
Le Tokar de Paris que j'ai devant les yeux est un spécimen remarquable !
C'est vraisemblablement, dans la hiérarchie des Tokars, un mâle dominant. Il en a toutes les caractéristiques.
D'ailleurs pour vous prouver que vous feriez également de bons éthologistes, je vais vous proposer un petit jeu. Je vais vous décrire son comportement puis, je vous proposerai différentes descriptions de la bête. et vous compterez vos points.

Après les présentations que je vous épargnerai, et nous avoir proposé un café que nous avons refusé car nous venions d'en boire un, le tokar de Paris entre dans le vif du sujet.
Il parle fort, et par réaction, je parle le plus doucement possible.

- TdP (Tokars de Paris) : "Si je vous ai choisie, c'est parce que c'est vous la plus cappée."
--- Petit aparté "La personne la plus cappée" quelle expression ! bientôt une chronique de Vladivostok entièrement consacrée au sujet ----
- TdP (continuant) : "Vous avez une grande expérience de Xafok, décrivez la moi"
- PSIME (prestataire de services en informatique et en mauvais esprit) : " Oui, effectivement, j'ai réalisé quelques missions...."
- TdP (qui a lu mon CV) : "Combien de temps avez-vous travaillé avec Xafok ?"
- PSIME (très ennuyée) : "Oh, en tout, un an je pense"
- TdP (qui ne sait pas compter ou pas lire de CV) : "Ah bon pas plus ! Je croyais que vous aviez plus d'expérience sur le produit"
- PSIME (en son fort intérieur) : "T'aurais pu t'en rendre compte avant de me faire faire le trajet, tokar"
- TdP (tournant et retournant les pages du CV, entièrement remodelé afin de faire croire au client que je fais partie de sa boîte) : "Mais je ne comprends pas comment il est foutu ce CV"
- PSIME (qui a son opinion sur les CV de sa boite) :"......"
- TdP (réconcilié avec la chronologie) : "Ah c'est parce que les pages ne sont pas dans le bon ordre."
- PSIME (passionée par la conversation) : "...."

interlude
- TdP :  " vous voulez un café ?"
- PSIME et MDTB (Mâle dominant des Tokars de Bretagne) en chœur : "Non merci"
fin de l'interlude

- TdP : "j'ai un client qui cherche un spécialiste en Xafok.pour résoudre ses problèmes" (ça c'est la description de la mission), " prouvez moi que c'est vous".
- PSIME (enthousiasmé par la précision concise à moins que ce ne soit la concision précise du descriptif de la mission) : "Euh, oui, bien sûr, quels sont les problèmes de votre client ?"
- TdP (au top de son analyse technique) :" Il a des mauvais résultats de numérisation"
- PSIME (l’œil aussi vague que la réponse du TdP) : " Mais encore ?"
- TdP (qui a de la suite dans les idées): "Il a des problèmes et il cherche quelqu'un pour les résoudre"
- PSIME (qui a l'impression qu'on tourne en rond)  : "Et quels sont ses problèmes ?"
- TdP (sur de lui)" Je ne sais pas, moi je fais de l'éditique pas de la dématérialisation. Les images qu'il scanne sont mauvaises, qu'est-ce que vous pouvez faire ?"
- PSIME (qui se lance): " Euh, changer de scanner ?"
Regard interloqué de TdP,  pas forcément un grand sens de l'humour, le Tokar...
- PSIME (qui sent bien qu'elle a gaffé): "Oui quand on a épuisé tous les recours....Vous comprenez, il me faudrait plus d'éléments pour répondre."
- TdP (brave bête) : "Et de quels éléments avez vous besoin ?"
- PSIME (tel le torero achevant le toro): " Et bien, une description précise des problèmes, les interventions faites pour les résoudre et le résultat de ces interventions, éventuellement s'il s'agit de mauvaise reconnaissance de document, l'étude du fond documentaire, les spécifications, la description de l'implémentation...."
- TdP(surpris qu'on ait besoin de savoir de quoi on parle) : "Je n'en sais rien"

interlude
- TdP :  " vous voulez un café ?"
- PSIME et MDTB  en chœur : "Non merci"
fin de l'interlude
- PSIME (positive - enfin !) : "Vous pourriez peut-être vous renseigner  et me communiquer les informations ?"
- TdP (accroché à la branche) : "C'est une bonne idée"
- TdP (dans la série quand je veux, je peux être encore plus nul) : "Et puis il faudrait leur dire s'ils ont intérêt à changer de version de Xafok, quels seraient les avantages"
- PSIME (sciant la branche avec entrain) : "Et quelle version ont-ils ?" (La vache la question qui tue !!!!!)
- TdP (qui l'a bien cherché, en tombant de son arbre) : "Je ne sais pas"
- PSIME (in petto) : "Ils ont des drôles de numéros de version chez Xafok "
- PSIME (tout haut, positive pour la deuxième fois) : "Et bien vous pourriez leur demander et me fournir l'information ?"
 - TdP ( à la limite de la grossièreté) : "Bon, je vais m'entretenir seul avec M. MDTB

interlude
- TdP :  " vous voulez un café ?"
- MDTB  tout seul  : "Non merci"
- PSIME (excédée et pensant, si je prends un café, il va arrêter de m'en proposer) : "Oui volontiers"
- TdP (poli bien élevé) : "Et bien la machine est dans l'entrée, vous n'avez qu'à vous servir. C'est une Nespresso, vous savez vous en servir au moins ?"
fin de l'interlude 
 à suivre

jeudi 20 décembre 2012

Vie et mœurs du Tokar de Bretagne III



Librement (très) inspiré du poème de José-María de Heredia : les conquérants


                Les C... errants

Comme un vol de rapaces hors du bureau natal
Fièrement affublé de sa grosse voiture
De Rennes la bretonne, tokar et commercial
Partait, remplir le Païpe jusqu’à la démesure.

Il allait conquérir le fabuleux contrat
Que les clients celaient dans leurs bureaux lointains
Sans jamais ressentir de ceux-ci le rejet
Que générait en eux son âpre appât du gain.

Chaque soir espérant des lendemains gagnants,
Il voyait dans les lueurs du soleil couchant
Miroiter des contrats, dollars, projets, €uros.

Et au matin, déçu, du fond de son bureau
Il regardait piteux sur son écran briller
Les refus des clients qu’il voulait escroquer.



Pour les mots "inconnus" tokar, païpe, reportez vous aux chroniques précédentes Vie et mœurs du Tokar de Bretagne I et II

jeudi 29 novembre 2012

Vie et mœurs du Tokar de Bretagne I



Le Tokar de Bretagne est un animal nuisible de l’espèce des  Ingenieurii Commercialisis , sous espèce des  Tokari Britonicus . Cette espèce étant elle même la plus nuisible du genre Homo Affairistus.

Apparition du Tokar.

Le Tokar est issu d’une mutation génétique tenant de la malformation congénitale également connue sous le nom de crétinisme des Alpes (d’où l’expression crétin des Alpes). Le premier et seul spécimen a été repéré dans la ville autrefois appelée Condate. Comme chacun le sait, ce nom signifie confluent, et ce fait n’a absolument aucun rapport avec le Tokar de Bretagne.
Le Tokar, comme le disait Germaine Tillion à propos du Verfügbar,  est une espèce « anatomiquement classée parmi les animaux inférieurs, mais supérieur à l’huitre ». Je rajouterai que la différence principale entre le Verfügbar et le Tokar tient à ce que l’on a envie d’adopter et de protéger le verfügbar alors que quand on voit un Tokar, on a plutôt envie de prendre un permis de chasse (et de s’en servir).
Curieusement, ce n’est pas à Condate qu’a été identifié Le Tokar de Bretagne, mais dans la ville voisine de Condevincum, qui veut également dire confluent (mais ce ne sont pas les mêmes rivières).
Le spécimen y a été repéré et identifié en tant que sous-espèce à part entière de Ingenieurii Commercialisi de manière formelle. 
La légende raconte qu’au cours d’un se ses rares déplacement en vue de gagner sa pitance, le Tokar s’est fait démasquer à deux reprises par des proies potentielles, qui se sont écriées « Mais c’est un vrai Tokar ton Ingenieurii Commercialisis ! ».
Saluons avec reconnaissance ces amis de la science qui ont su voir, derrière les apparences trompeuses, la véritable nature de notre ami le Tokar, même si, malheureusement pour le Tokar, il est rentré bredouille au nid (mais il en a l’habitude).

Description du Tokar. 

Le Tokar de Bretagne possède les caractéristiques pas très sympathiques de l’espèce ingenieurii commercialisis à savoir :

  •   un contentement de soi frisant l’imbécilité (au sens clinique du terme),
  •   un amour disproportionné pour une chose nommée argent,
  •   une fierté placée essentiellement dans des signes extérieurs, du genre « tout est bon du moment que ça se voit », caractéristique dont un célèbre Homo Publicitaris a un jour fait un raccourci saisissant « si t’as pas de Rolex avant 50 ans, t’as raté ta vie ».
Le Tokar de Bretagne ne se distingue pas physiquement des autres sous-espèces de  Ingenieurii Commercialisis : même aspect terne et passe partout, obtenu principalement par le port de l’uniforme commun à toutes les espèce du genre Homo Affairistus.
Je vous rappelle que  la caractéristique principale de cette espèce est d’attacher une importance démesurée à l’aspect extérieur sans tenir aucun compte des qualités intellectuelles et morales des individus, ce qui explique peut-être la piètre qualité des membres de l’espèce.

Le signe distinctif extérieur le plus remarquable du Tokar de Bretagne est essentiellement  son cri, ou plus exactement par les sons terminaux qu’il émet à chaque fin de phrase. Une sorte de « Ahahahahahahah » d’une niaiserie incommensurable. Ce cri terminal a le dont d’irriter ses interlocuteurs au plus haut point, ce qui explique sans doute les piètres résultats du Tokar de Bretagne lors de ses opérations de « chasse au contrat ». Nous verrons au court de notre étude que ce n’est pas la seule explication.
 

Vie et mœurs du Tokar de Bretagne II



Vie du Tokar.

Le Tokar partage son temps entre deux endroits, le nid familial et le nid de fonction.  Le nid familial est occupé par une « cellule familiale » dont nous ne voulons rien connaître.
Le nid de fonction est partagé avec plusieurs autres espèces. Citons les deux principales Les Kékéii Bracasséis  également membre du genre Homo Affairistus sous-espèce des Quii Sycroiis, et la sous espèce plus nombreuse des Pioupiouii Moinsquerienis  membres du genre Collaboratii Esclavatis qui sont principalement les cibles directes ou indirectes des bourdes et incompétences du Tokar de Bretagne.
Ses horaires sont extrêmement rigoureux, jamais de présence au nid de fonction après 18h le soir ! Et aller au nid de fonction un week-end est un privilège qu’il ne s’accorde pas, il le réserve aux Pioupiouii Moinsquerienis  . Il faut bien dire que c’est leur seul privilège et que la seule qualité que nous pouvons reconnaître au Tokar de Bretagne est le respect de ce privilège.
Le Tokar de Bretagne ne se déplace que dans une Audi avec « fauteuil en cuir ». Mettre son cul dans tout autre véhicule est considéré comme une déchéance grave pouvant entraîner des séquelles irréparables au neurone du Tokar (non ce n’est pas une faute d’accord).

Une différence importante avec les autres sous-espèces de Ingenieurii Commercialisi réside dans la croyance qu’a le Tokar de Bretagne dans une entité mystérieuse appelée le Païpe (et non le pape). Cette mystérieuse entité supra-naturelle a vocation à se déboucher pour laisser couler sa bénédiction sur notre Tokar, la bénédiction en question prenant la forme de « projets ».

Petit aparté : Le projet est un concept clé de la vie du Tokar, plus particulièrement la « vente de projets ». Il s’agit d’une manière de chasse rituelle, dont la proie est membre de l’espèce Pigeonii Nigaudis. Il s’agit pour le Tokar de lui faire signer un document appelé « contrat » où le Tokar de Bretagne s’engage à ce que la sous-espèce des Piouii Piouis  réalise des travaux que même Hercule dans ses bons jours refuserait de faire, le tout dans un temps record.

Le païpe, en tant que pourvoyeur de projet peut être raisonnablement considéré, d’un point de vue ethnologique, comme la déité suprême du Tokar. Il s’agit là d’une des particularités de cette sous-espèce qu’on peut reconnaître donc non seulement à la terminaison de son cri, mais également à son  "cri de rut"  qui est : « On va conclure ! ».
Cette habitude lui a valu le surnom de Jean-Claude par similitude avec une espèce du genre Homo Comicus, les Bronzéii Skiis dont c’est également le cri de rut.

Le troisième critère permettant de différencier le Tokar de Bretagne des autres sous-espèces de Ingenieurii Commercialisi,  est également lié, de manière plus indirecte, à ce dieu Païpe. En effet, le Tokar, intimement persuadé de la réalité des projets dans le Païpe, et certain qu’un jour ces projets lui seront donnés par la grâce du Païpe, passe son temps scotché à son nid de fonction à attendre que « le Païpe se débouche ». C’est vraisemblablement la seule espèce à avoir ce comportement ridicule. Ce symptôme est aisément identifiable par un des cris les plus courants du Tokar : "Il y a pleins de projets dans le Païpe".

Mœurs du Tokar de Bretagne

Outre l’absence quasi-totale de qualités, propre aux représentants de l’espèce Ingenieuri Commercialisis, le Tokar de Bretagne possède de véritables défauts. C’est d’ailleurs peu de chose de dire qu’il en possède, si la communauté européenne faisait son boulot correctement, elle interdirait le Tokar de Bretagne au nom de la loi anti-trust ! Malheureusement les défauts ne sont pas considérés comme une marchandise, sinon, le Tokar de Bretagne, tout en pratiquant son activité favorite, être assis à son bureau à se torturer le neurone (non ce n’est toujours pas une faute d’accord), atteindrait un de ses objectifs qui est d’être bourré d’oseille.
Déclinons ces défauts, peut-être pas tous, parce que la capacité de stockage du web n’est pas illimitée, mais au moins les principaux.

La paresse.

Si les principaux membres de l’espèce Ingenieuri Commercialisis  sont connus pour leur travail dur et pas toujours rigolo, je pense en particulier à la sous-espèce Vendeurii confituris qui parcourt la France de long en large et même en travers. Au contraire, le Tokar de Bretagne est connu pour rarement quitter le nid de fonction, appelé « bureau » dans son jargon. A se demander pourquoi il exige une grosse voiture « avec des sièges en cuir » puisqu’elle passe la plupart du temps inutilisée.

La prétention.

Le Tokar de Bretagne est d’autant plus étonné de ne rien réussir qu’il est persuadé d’être un être iiiiiiirrésistible, aimé de tous, supérieurement intelligent et j’en passe. Nous avons là une preuve flagrante de "crétinisme alpin".

L’humour à usage (très) personnel

Le jeu favori du Tokar de Bretagne consiste à « faire rire », enfin tenter, les autres espèces co-habitantes   de son terrier de fonction, qui passent leur temps (et on peut le dire, de manière surérogatoire) à rattraper ses bourdes, ses erreurs et j’en passe, en leur disant après deux heures de pause café : « Bon faut que j’y aille, j’ai un tétris en train ».

L’incompétence à usage (très) partagé

Le Tokar de Bretagne a trouvé un moyen commode de ne pas revenir bredouille. Il s’agit de reporter sur une sous-espèce cohabitant avec lui dans le nid  de fonction, toute la difficulté de l’action (voir l’aparté sur les projets et l’action rituelle dite « vente de projets ».